Source : http://www.oikosblogue.coop
La flambée des prix des denrées alimentaires de ces dernières années a
provoqué des émeutes partout dans le monde et, couplée à une augmentation
similaire des prix de l’énergie, pèse lourdement sur le budget des ménages. Des
recherches récentes établissent un lien entre ces évènements et l’augmentation
de la spéculation sur les denrées alimentaires (et l’énergie), qui représente
désormais 70 % de l’activité financière sur produits dérivés agricoles contre
30 % il y a 10 ans. Finance Watch plaide pour que des limites soient imposées à
cette activité spéculative. Cette petite animation explique simplement et clairement le lien entre
spéculation sur matières premières et hausse des prix de l’énergie et
alimentaires.
Durée 2 min. 43
La spéculation est le cancer de la vraie économie productive. Plus elle est présente, plus son impact est dévastateur. J'espère que nos gouvernements vont se réveiller un jour et interdire cette tricherie légalisée.
RépondreSupprimerJonathan Doucet
Parfaitement d'accord avec vous... le problème, avec les politiques gouvernementales, et ce depuis des dizaines d'années, est: "Laissons les marchés s'occuper de la chose, ce sont les meilleurs !"
SupprimerAie! Les gouvernements ! Réveillez-vous ! Avez-vous remarqué où cette façon de raisonner nous a amené ?! Au niveau économique, au niveau environnementale, au niveau social ! Échec sur toute la ligne ! Vous ne serez même plus en mesure, de "renflouer" les banques, principales responsables de ces échecs ! Car avec cette philosophie, ou avec cette façon de voir capitaliste, il est des plus logique de détruire l'environnement ou faire disparaître certaines espèces, si la chose est payante... voir même détruire nos réserves d'eau potable, si les impacts ne sont pas "immédiat"... les générations à venir sauront bien se débrouiller sans eau...
Reste à savoir maintenant si nos gouvernements seront prêt à l'interdire, ces tricherie "légalisée"... mais, je ne serais pas surpris d'apprendre que ces spéculateurs ne soient pas déjà impliqué dans le financement des partis politique...
Donc, ne serais-ce pas la politique qu'il nous faudrait avant tout changer ?
Daniel Bérubé