Les
médias de masse et certains journalistes s’entêtent à nous faire avaler une
nouvelle définition du mot censure. Mais celle-là est définitivement coincée
dans ma gorge.
Avec
la rapidité de circulation de l’information de nos jours et la pression des
réactions dans les médias sociaux, je remarque une constante baisse de qualité
dans le traitement de l’information. Dans beaucoup de cas, les grands médias
occultent carrément les faits et les sujets d’actualité sont constamment mal
traités.
Le
traitement médiatique de l’affaire Kanata et les groupes autochtones est
frappant d’imprécisions et d’aveuglement volontaire pour faire de son
annulation précipitée un cas de censure et d’affront à la liberté d’expression
artistique.
Les faits