Offrant bien davantage que des services aux entreprises, Commerce solidaire Québec vise ultimement à renforcer le secteur de l'économie sociale et solidaire et à accroître son rôle dans l'activité économique du Québec et ailleurs dans le monde. Pour y arriver, les entreprises et les réseaux d'économie sociale sont notamment appelés à travailler et à commercer davantage ensemble. Ils ont aussi le défi d'améliorer l'accès à leurs produits et services auprès des consommateurs, des entreprises et des organismes publics.
mardi 31 janvier 2012
dimanche 29 janvier 2012
Selon le New York Times, Apple s’enrichit sur le dos des travailleurs chinois !
Apple est sans nulle doute l’entreprise la plus riche et la plus admirée au monde selon le Magazine Fortune. Les produits Appe font l’unanimité par leur caractère innovant et par leur performance. L’attrait de la marque Apple ne cesse de grandir et son succès transcende les frontières. D’ailleurs, le 24 janvier dernier, l’entreprise déclarait des profits records de 13 milliards $ sur des ventes de 46 milliards $. Des profits aussi démesurés, à la limite de l’indécence, ne peuvent s’expliquer que par deux facteurs : 1- Apple fait fabriquer ses produits à un très bas coût et 2- nous payons trop cher ses produits à cause de l’admiration sans borne des consommateurs pour la marque Apple.
Le modèle du géant des produits technologiques n’est pas irréprochable, notamment en ce qui concerne les conditions de travail dangereuses dans les énormes usines comme celles de Chengdu, en Chine. Le problème est régulièrement pointé du doigt, mais une nouvelle enquête très fouillée du New York Times parue mercredi 25 janvier vient offrir un éclairage d’une profondeur inédite sur la situation et surtout sur la responsabilité d’Apple et de ses partenaires chinois.
samedi 28 janvier 2012
Découvrez des projets socialement innovants et inspirants : Montourneur.com
Pour créer le chaînon manquant entre les organisateurs de concerts, les artistes indépendants et leurs publics, quelques professionnels et passionnés de musique ont créé Montourneur.com.
D’accès gratuit, cette puissante plate-forme internet est à la fois un outil innovant de gestion et d’administration de la tournée, une vitrine pour les artistes, une interface qui facilite la vie des programmateurs en révélant de nouveaux talents et un outil de démocratisation de la culture.
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vendredi 27 janvier 2012
La coopérative : une réponse aux maux du capitalisme?
Pierre Théroux . Les Affaires . 28-01-2012
Le modèle coopératif se présente comme une solution aux différents maux du capitalisme, selon Monique Leroux, présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins.
«Les valeurs coopératives sont plus que jamais une réponse aux défis économiques et sociaux de notre monde», a-t-elle souligné en entrevue aux Affaires.
Elle rappelle que les coopératives traversent mieux les crises que la plupart des autres organisations et que leur taux de survie est supérieur. Une étude réalisée en 2009 par l'Organisation internationale du travail confirme la résilience des entreprises coopératives en période de crise. À preuve, «aucune coopérative financière n'a eu à quémander d'aide gouvernementale», souligne l'étude.
Le nouveau visage de la coop
Pierre Théroux . Les Affaires . 28-01-2012
Aujourd'hui, une nouvelle génération d'entrepreneurs donne un second souffle au mouvement coopératif. Le modèle séduit les jeunes, perce dans de nouveaux secteurs et constitue une solution aux problèmes de la relève et à la survie des régions.
Il y a quatre ans, quand Mathieu Riendeau et ses associés ont décidé de lancer leur entreprise, ils ont rapidement opté pour la formule coopérative. «On était animé par des valeurs de démocratie, où l'humain prime le capital. Nous voulions aussi que tout le monde participe au développement de l'entreprise», dit le coordonnateur au développement et au financement de la Coop les ViVaces, qui regroupe une quinzaine de créateurs du milieu des arts et de l'enseignement.
Pour Mathieu Riendeau, 34 ans, la formule coopérative amène un plus grand sentiment d'appartenance. «L'engagement est plus fort. Si on connaît une mauvaise période, tout le monde va se relever les manches et redoubler d'ardeur pour passer au travers.»
Son succès repose aussi sur une gestion participative qui va bien au-delà du principe «un membre, un vote», qui s'exerce seulement lors de l'assemblée générale annuelle. Par exemple, les membres la Coop les ViVaces se rencontrent une fois par mois dans le cadre d'un 5 à 7 où ils échangent entre autres sur les projets de la coopérative.
Plus résistantes aux remous
Si les coopératives résistent mieux aux crises économiques, c'est aussi parce qu'elles n'ont pas de compte à rendre à des actionnaires ou des investisseurs qui en veulent toujours plus pour leur argent, croit Mathieu Riendeau. «C'est sûr qu'on a des préoccupations de rentabilité pour pouvoir continuer, mais notre seuil est bien moindre.»
Il cite en exemple un contrat obtenu par les ViVaces avec une organisation montréalaise qui, après des discussions sur le projet, a finalement été refilé à une autre entreprise. «On s'est rendu compte que nous n'étions pas les meilleurs pour réaliser le projet. C'est sûr qu'on perdait des milliers de dollars, mais pour nous c'était aussi une question d'éthique», dit Mathieu Riendeau.
jeudi 26 janvier 2012
L’évolution de la pratique des agents de développement de l'économie sociale de Montréal
L’Alliance de recherche universités-communautés en économie sociale (ARUC-ÉS) et le Réseau québécois de recherche partenariale en économie sociale (RQRP-ÉS) ont récemment publié un rapport de recherche sur l’évolution de la pratique des agents d’économie sociale de Montréal.
Les partenaires de recherche se sont entendus pour faire ressortir les facteurs conduisant à la convergence et à la divergence de certaines pratiques, de même que pour organiser un séminaire au terme duquel un bilan collectif serait produit. L’exercice d’ensemble devait faciliter le transfert des connaissances et des apprentissages accomplis, et de mieux soutenir l’accompagnement des entreprises d’économie sociale dans l’avenir.
mercredi 25 janvier 2012
Découvrez des projets socialement innovants et inspirants : Koeo.net
Koeo.net est la 1ère plateforme dédiée au mécénat de compétences : don ponctuel et gracieux de savoir-faire et d’expertise de collaborateurs d’entreprises ou de professions libérales, pendant leur temps de travail, aux structures d’intérêt général (associations, fondations, écoles, universités).
Véritable site de rencontre entre entreprises et associations, Koeo.net favorise la rencontre offres/demandes entre les 2 univers et accompagne les acteurs tout au long des missions « mécénat de compétences » au travers d’outils de déploiement, suivi et contrôle, notamment en terme d’innovation RSE et RH.
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dimanche 22 janvier 2012
Découvrez des projets socialement innovants et inspirants : Fairplaylist
Fairplaylist est une organisation à but non lucrative créée en 2003 dont la mission est de définir une nouvelle économie de la musique dans laquelle tous les acteurs de la filière musicale respectent ensemble des principes d’équité et de solidarité permettant le soutien de la diversité culturelle, une répartition plus équitable et transparente des revenus, et le respect de l’environnement.
Une solution nouvelle face à un besoin mal satisfait
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vendredi 20 janvier 2012
Déclaration québécoise pour l’innovation sociale : Facteurs de succès et recommandations !
Le Réseau québécois en innovation sociale (RQIS) a rendu publique la Déclaration québécoise pour l'innovation sociale lors du 3e colloque international du CRISES.
C'est à la suite des travaux de la communauté d'intérêt sur l' innovation sociale que 12 facteurs clés de succès ont été identifiés pour faciliter l'émergence et la pérennisation de projets d'innovation sociale :
1- Le déclencheur est la combinaison d'une problématique sociale non résolue, d'un contexte propice (crise, politique gouvernementale, etc.) à l'application d'une solution nouvelle et de la volonté d'acteurs d'œuvrer ensemble à la recherche d'une réponse à un problème bien défini.
L’innovation sociale, une démarche éprouvée mais un concept très peu vulgarisé
Sources d'informations
http://www.uquebec.ca/ptc/rqis/
Quand on parle d’innovation, la première chose qui vient à l’esprit est l’innovation technologique. Et pourtant le concept d’innovation est beaucoup plus large et va au-delà de l’aspect technologique.
La démarche d’innovation change de nature. Elle est de plus en plus collaborative, de plus en plus rapide et propose des offres en rupture avec l’existant. Au-delà des aspects «technologiques», elle est aussi organisationnelle, sociale, citoyenne, liée aux usages… Elle est de plus en plus co-conçue avec l’usager final dans le cadre d’un processus qui ne se limite plus au couple chercheur/industriel. Toutes ces nouvelles formes d’innovation sont mal prises en compte dans les dispositifs actuels de soutien et de financement de l’innovation.
http://www.uquebec.ca/ptc/rqis/
Quand on parle d’innovation, la première chose qui vient à l’esprit est l’innovation technologique. Et pourtant le concept d’innovation est beaucoup plus large et va au-delà de l’aspect technologique.
La démarche d’innovation change de nature. Elle est de plus en plus collaborative, de plus en plus rapide et propose des offres en rupture avec l’existant. Au-delà des aspects «technologiques», elle est aussi organisationnelle, sociale, citoyenne, liée aux usages… Elle est de plus en plus co-conçue avec l’usager final dans le cadre d’un processus qui ne se limite plus au couple chercheur/industriel. Toutes ces nouvelles formes d’innovation sont mal prises en compte dans les dispositifs actuels de soutien et de financement de l’innovation.
jeudi 19 janvier 2012
Rapport Audet : 63 recommandations visant à réduire le fardeau des entreprises
Dans le cadre de la 3e Semaine de la sensibilisation à la paperasserie, le président du Comité ministériel de la prospérité économique et du développement durable, ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Sam Hamad, a rendu public aujourd'hui le rapport du Groupe de travail sur la simplification réglementaire et administrative, créé le 12 janvier 2011. Le mandat de celui-ci consistait à proposer des mesures concrètes visant à réduire le fardeau réglementaire et administratif des entreprises, notamment les PME, qui sont les plus touchées par les contraintes. À cet égard, le document propose 63 recommandations.
mardi 17 janvier 2012
50 000 $ pour la mise en place du Centre de référence et de liaison internationale de l’économie sociale et solidaire !
Le ministre des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire, monsieur Laurent Lessard, a annoncé le 10 janvier 2012, une participation financière de 50 000 $ au Chantier de l’économie sociale pour la mise en place du Centre de référence et de liaison internationale de l’économie sociale et solidaire.
Dans la foulée du Forum international de l’économie sociale et solidaire (FIESS) qui s’est déroulé à Montréal en octobre dernier, le Chantier de l’économie sociale souhaite optimiser les retombées de cet événement par la mise en place du Centre de référence et de liaison internationale. Le Centre favorisera l’accès à l’information concernant les expériences novatrices en économie sociale et solidaire, notamment celles qui ont pris leur essor en partenariat avec les pouvoirs publics.
vendredi 13 janvier 2012
Et si le Canadien de Montréal devenait une entreprise d'économie sociale ?
Le Samedi dernier, près de 200 militants pour la défense de la langue française ont manifesté devant le Centre Bell à Montréal pour dénoncer la nomination, mi-décembre, d'un unilingue anglophone au poste d'entraîneur-chef du Canadien.
Tout d’abord, j’aimerais préciser que je suis d’accord avec l’idée que les propriétaires du «Canadien de Montréal» devraient traiter les francophones avec plus d’égard parce que ce sont eux qui font vivre ce club. C’est une simple logique commerciale. Pour moi, le client est toujours le roi. Mais est-ce une raison pour organiser une manifestation contre une entreprise privée parce qu’elle a choisi «temporairement» de nommer un anglophone au poste d’entraîneur? L’été dernier, il y avait une manifestation organisée pour exiger la tenue d’une commission d’enquête publique sur la corruption et la collusion dans l’industrie de la construction, une gangrène qui fait perdre des milliards aux Québécois au fil des années, il y avait très peu de monde au rendez-vous. Mais pour une décision qui ne changera véritablement pas grande chose dans nos vies et qui de surcroit est considérée comme temporaire, les gens sont prêts à braver le froid hivernal pour se faire ridiculiser. Les gens ont un drôle de choix de priorités.
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