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vendredi 30 août 2013

Le Conference Board du Canada recommande les cantines scolaires !


 
Le Canada est le seul pays du G8 sans programme national
 
C'est très suprenant que le Canada soit le seul pays du G8 à ne pas s'assurer que ses enfants soient bien nourris avant les classes. D'ailleurs, le Québec n'est pas plus exemplaire à ce sujet non plus.

Toutes les écoles des provinces et des territoires devraient offrir des programmes de distribution de repas pour aider leurs élèves à soulager leur faim et à pallier leur mauvaise alimentation, ainsi qu’à améliorer leurs résultats scolaires, recommande Le Conference Board du Canada dans un nouveau rapport publié par son Centre canadien de recherche sur l’alimentation.
 
Les enfants et les jeunes sont surreprésentés parmi les près de deux millions de Canadiens qui souffrent d’« insécurité alimentaire », c’est-à-dire qui se trouvent dans une situation telle que l’accès à des aliments nutritifs leur est parfois ou toujours impossible ou trop coûteux.

dimanche 25 août 2013

Spike Lee et Kickstater portent-ils atteinte à la philosophie du Crowdfunding?



  Source www.lemonde.fr

 

Son plus grand succès a rapporté 184,4 millions de dollars (137,6 millions d'euros) de recettes dans le monde entier. C'était en 2006, le film s'appelait Inside Man. Aujourd'hui, le réalisateur Spike Lee vient de rassembler exactement 1 348 971 dollars par l'intermédiaire du site Kickstarter, afin de financer son prochain long-métrage.

 

Les généreux donateurs s'engagent un peu à l'aveugle, puisque le metteur en scène de Do the Right Thing a été avare de détails sur le scénario. "Des humains victimes d'une addiction au sang. Drôle. Sexy et sanglant. Une histoire d'amour inédite (et ce n'est pas un remake de Blacula)", se contente-t-il d'expliquer sur la plate-forme de financement collaboratif.
 
La démarche de Spike Lee semble aller à l'encontre de la philosophie du crowdfunding (le "financement par la foule") en général, et de Kickstarter en particulier. Le site, qui est une entreprise à but lucratif et prélève un pourcentage sur les sommes rassemblées, a été fondé pour mettre le pied à l'étrier à de jeunes entrepreneurs, dans le domaine de la culture ou de l'innovation technologique.

mardi 13 août 2013

Crowdfunding : Kickstater au Canada, menace pour les plateformes canadiennes et québécoises?


J’ai demandé à une douzaine d’entrepreneurs de nommer une plateforme de crowdfunding en activité au Québec et créée par des entrepreneurs d’ici. Une seule bonne réponse : haricot.ca. C’est sûr que ce n’est pas un vrai sondage, mais une chose est certaine, les plateformes de financement participatif québécoises sont très peu connues. Mieux, ces plateformes éprouvent beaucoup de mal à décoller et atteindre des résultats comparables aux plateformes américaines et françaises. Par exemple, haricot.ca lancé en 2011 a recueilli jusqu’à maintenant environ 59 447 $ pour 24 projets financés selon les informations affichées sur le site. Incomparable, Kickstater a permis de lever 320 millions de dollars, pour 18 000 projets en 2012 seulement. Évidement, le marché local est très petit.

jeudi 8 août 2013

Trop de festivals à Montréal ?


Les festivals se multiplient à Montréal mais ne se valent pas

Montréal est reconnue internationalement pour la qualité de ses festivals, qui connaissent depuis deux décennies un essor sans précédent. La croissance du nombre de ces manifestations culturelles repose d'abord sur l'esprit très convivial des Montréalais, sur l'excellence des entreprises culturelles et sur la diversité culturelle de la ville. Oui, c’est possible de faire le tour du monde des cultures sans sortir de Montréal.
 
Savez-vous le nombre de festivals qui se déroulent à chaque année à Montréal? 110 festivals environ selon le site touristique officiel du gouvernement du Québec. www.bonjourquebec.com et 525 répertoriés par Festivals et événements du Québec (FEQ) à travers le Québec.
 
Est qu’il y’a trop de Festivals à Montréal?

lundi 5 août 2013

Économie sociale et solidaire, le modèle d'avenir?


 
Partout dans le monde, une nouvelle génération d’entrepreneurs cherche à conjuguer activités à visée sociale et objectifs de performance économique. Avec succès.
 
Les plus importantes organisations internationales, comme l’ONU, l’érigent en modèle d’avenir. Elle a fait son apparition au menu des écoles de mana­gement les plus cotées. Les entrepri­ses, grandes et petites, com­men­cent à la prendre au sérieux. De toute évidence, l’économie sociale et solidaire fait son chemin dans les esprits. Elle est portée par des patrons qui s’impliquent dans des secteurs délaissés par le privé (santé, éducation…), mais qui veulent aussi appliquer des schémas de production différents et mettre en place des modes de gouvernance plus démocratiques. Tous ces dirigeants partagent le même objectif : faire de l’argent un moyen, et non une fin en soi, et remettre l’homme au cœur de leur activité.

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